mercredi 10 septembre 2014

Montpellier



Montpellier, ce sont ses graffitis.








Ses peintures en trompe l’œil.


Ses belles plages (bon, à 15 minutes en voiture de là.  On peut aussi prendre le tram).   Le Petit Travers, avec un parking encore poussiéreux et beaucoup de moustiques.  Les moustiques, en effet !  Cela faisait longtemps que je ne m’étais pas fait piquer comme ça !  En plus chez ma mère, en plein centre-ville !  Et mes filles se sont aussi beaucoup fait piquer par les moustiques !  D’habitude, on ne remarque pas mes piqûres de moustiques, mais là, j’avais de gros boutons qui grattaient !  Enfin, jusqu’à présent, on n’a pas été malades par les moustiques.  C’est déjà ça !
























Il y a de plus en plus de gens qui pêchent sur la plage.  C’est désagréable !  Avant ils pêchaient du côté des rochers.


Ses mimes !  En voici un très talentueux du côté du Polygone.



Ses 3 Grâces, Place de la Comédie !  (Enfin, ce sont des reproductions, tout le monde le sait.  Les originales sont gardées dans un musée).  





Les Trois Grâces et le théâtre de Montpellier.
Son théâtre !




Son tram !
(Et voici ce qui nous attend au Luxembourg,  comme je le dis depuis 2008)

Il est très beau, mais qu’est-ce qu’il fait du bruit !  Pas mieux que certains trains !

Enfin, Montpellier, c’est des milliers de couleurs, de la chaleur et de l’émotion !
Quelques heures avant de prendre mon avion du retour, je suis allée voir une exposition de Claude Viallat au Musée Fabre et j’ai été très émue.  L’exposition a commencé avec des peintures à l’huile de Claude Viallat d’Aubais, le village où, comme lui, j’ai passé mon enfance.  J’ai aussi passé quelques mois à l’école primaire d’Aubais et j’en garde aussi de bons souvenirs.  Ce qui m’a ému le plus, c’est la peinture de l’intérieur de l’église protestante d’Aubais.  Mon grand-père, Georges, qui était protestant, n’y allait pas car il n’était pas pratiquant, mais il la fréquentait.  Et un jour, il m’a emmenée à la kermesse.  Par contre, je n’y suis pas entrée.  Et là, c’est comme si Claude Viallat m’y faisait entrer.  Sinon, quelle maîtrise de la technique et du tissu !  J’en suis restée bouche bée d’émerveillement !

Nadine Kay
 




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